4 Standards de télévision couleur  
4.1 NTSC (National Television Systems Committee) *    
4.1.1 Base de couleurs *
4.1.2 Transport de la couleur *
4.1.3 Choix de la fréquence de la sous porteuse *
4.1.4 Démodulation *
4.1.5 Schéma d’un récepteur NTSC *
4.1.6 Performances *


4.2 PAL (Phase Alternate Line) *

   
4.2.1 Base de couleurs *
4.2.2 Transport de la couleur *
4.2.3 Choix de la fréquence de la sous porteuse *
4.2.4 Démodulation *
4.2.5 Schéma d’un récepteur PAL *
4.2.6 Performances PAL *


4.3 SECAM (Séquentiel à mémoire) *

   
4.3.1 Base de couleurs *
4.3.2 Transport de la couleur *
4.3.3 Démodulation SECAM *
4.3.3 Schéma d’un récepteur SECAM *
4.3.4 Performances SECAM *


4.4 MESECAM *
 
 

Il existe 3 standards de codage de la couleur de part le monde, le NTSC, le PAL et le SECAM. De plus il existe des variantes de ces standards, comme le MESECAM.

Cette hétérogénéité est liée à l'histoire de la télévision et à la volonté de certains pays (ou continents) à prouver leur supériorité technologique en adoptant chacun un système différent. Le premier système a été nord-américain (NTSC), quelques années plus tard, il a été adapté/amélioré en Europe (PAL) ; la France, associée à l'URSS, a défini son propre standard (SECAM).

  NTSC Canada, U.S.A, Mexique, Pérou, Japon.

PAL U.K., Allemagne, Espagne, Italie, Inde, Australie, Singapour, Hong Kong, Chine, Argentine, Brésil, .…

SECAM France.

MESECAM Grèce, Russie, Égypte, Arabie Saoudite.
 
 

Ce but de ce document n'est pas de faire l'éloge de tel ou tel standard, il est d'expliquer les principes retenus pour traiter les signaux de télévision.

Les standards présentés concernent le domaine de la télévision "Grand Public", il en existe d'autres dans le domaine de la vidéo professionnelle (BetaCam, …) qui ne seront pas abordés dans ce document.

4.1 NTSC (National Television Systems Committee)

Format américain, aussi appelé ironiquement Never Twice the Same Color (jamais deux fois la même couleur), pour sa versatilité. Compatible avec le format américain Noir et blanc 60 Hertz (balayage 60 fois par seconde, soit 2 demi-images balayées 30 fois, soit 30 images complètes en 1 seconde). Ce fut le premier standard couleur inventé (1953) par les américains pour garder la compatibilité avec les postes noir et blanc de l'époque.

Définition de l'image : 640 pts x 475 lignes utiles (x 30 par seconde).

4.1.1 Base de couleurs

 

Le système NTSC utilise une base de couleurs YIQ, détaillée ci-après :
 
 

EY = 0,30ER + 0,59EV + 0,11EB

EI = 0,27(EB - EY)+0,74(ER - EY) = 0,60ER - 0,28EV - 0,32EB

EQ = 0,41(EB - EY)+0,48(ER - EY) = 0,21ER - 0,52EV + 0,31EB
 
 

Il s'agit d'une base de couleurs décalée de 33° par rapport à une base YDRDB :

EI = cos(33°).DB + sin(33°).DR

EQ = sin(33°).DB + cos(33°).DR

Cela se justifie par l'analyse de la perception visuelle humaine, notamment les ellipses de Mac Adam, qui montre une distorsion de la sensibilité de l'œil suivant certaines directions dans l'espace des couleurs. Ainsi, on peut réduire la bande passante du terme représentant l’axe de moindre sensibilité.

Bande passante EI = 1,2 MHz

Bande passante EQ = 400 kHz

Le Blanc de référence est caractérisé par Y = max, EI = EQ = 0.

 

4.1.2 Transport de la couleur

Le choix de la modulation s'est porté sur :

Modulation d’amplitude double en quadrature de phase à porteuse supprimée :

Soit 2 signaux modulants (c'est à dire à moduler) S1(t) et S2(t), d'amplitude unitaire et de faible bande passante, et une porteuse de pulsation w0.

  La modulation d'amplitude de ces 2 signaux en quadrature donne le signal a(t) : a(t) = P1(1 + kS1(t))sinw0t + P2(1 + kS2(t))cosw0t

= [P1sin w0t + P2cosw0t] + k[P1S1(t)sinw0t + P2S2(t)cosw0t]

Vecteur fixe Vecteur mobile

a(t) se décompose donc en 2 parties :

Vecteur fixe : il s'agit de la porteuse de pulsation w0t ; elle doit être éliminée car elle ne transporte pas d'information utile.

Vecteur mobile : il s'agit de l'onde modulée en quadrature de phase sans porteuse, c’est donc lui que l’on va considérer, notons le m(t).

m(t) = |M0(t)|sin(w0t + j0) avec : |M0| = (P1S1)² + (P2S2

  j0 = arctg (P2S2/P1S1)
 
En posant : , on peut écrire :   EI = DB.cosa - Dr.sina = M.sin(j - a)

EQ = DB.cosa + Dr.sina = M.cos(j - a)

La figure suivante représente cela de manière graphique.
 
 

Fig. 4.1 : Vecteur de modulation de la sous porteuse


 

4.1.3 Choix de la fréquence de la sous porteuse

Le transport de la sous porteuse chrominance doit se faire dans la bande passante de la luminance tout en ne perturbant pas la réception par un récepteur noir et blanc ; un signal de télévision transporte également de son, dans le cas du NTSC, celui-ci est modulé en fréquence par une porteuse à 4,5 MHz.
 
 

On a donc comme contraintes :

Le codage de la couleur doit être compatible avec le N&B

fSC < 4,2 MHz (bande passante de la luminance)

fSC multiple impair de fH (interférences)

(fSC - fSON) multiple impair de fH (interférences)
 
 

Le système NTSC a adopté :

fTRAME = 59,94 Hz

fSON = 4,5 MHz (modulation FM)

fH = fSON/286

fH = 15734,264 ± 0,044 Hz

et

fSC = (910/4)fH = 227,5fH

fSC = 3,579545 MHz ± 10 Hz
 
 

L’analyse spectrale du signal composite ainsi obtenu est donnée par la figure suivante ; on s’aperçoit que les spectres de la luminance et de la chrominance ne sont pas continus (ils sont échantillonnés à la fréquence ligne (fH)) et le choix de fSC permet à ces 2 spectres de ne pas se chevaucher.

Fig. 4.2 : Détail du spectre du signal Vidéo composite NTSC




Du fait du choix de la fréquence de 277,5. fH , on retrouve les mêmes conditions de phase toutes les 4 trames (2 images).

 

4.1.4 Démodulation

A la réception du signal, il faut tout d’abord séparer la luminance et le signal de chrominance modulé :

Luminance : une solution simple est d’extraire la luminance par un filtrage passe-bas, une autre solution, plus performante mais plus onéreuse, consiste à utiliser un filtre en peigne (les dents du peigne étant espacées de fH).

Chrominance : le signal de chrominance, modulé en amplitude, étant peu sensible aux perturbations apportées par la luminance, un filtre passe-bande (" cloche ") suffit généralement..

Fig. 4.3 : Filtres d’extraction de la luminance




Il faut ensuite démoduler les signaux de chrominance, ceux-ci sont modulés en amplitude sans porteuse ; il va donc falloir effectuer une démodulation synchrone, dont voici le principe :

Il faut multiplier le signal entrant (m(t)) par une porteuse de référence, générée au sein du récepteur, asservie en phase à la porteuse d’origine ; cet asservissement est réalisé lors de la salve de chrominance en début de ligne. La salve de référence dure 8 périodes et sa phase est de 180°.
 
 

Porteuse de référence : p(t) = P0sin(w0t + q0)

Onde modulée : m(t) = M0(t)sin(w0t + j (t))
 
 

  Variation lente /w0 Signal démodulé : R(t) = 2Kp(t).m(t)

R(t) = 2KP0sin(w0t + q0). M0(t)sin(w0t + j (t))

= KP0M0 (t)cos(2w0t + j + q0) + KP0M0 (t)cos(j - q0)

Spectre centré sur 2w0 Spectre en bande de base
 
 
 
 

Après filtrage passe bas, on obtient D(t) :

D(t) = KP0M0 (t)cos(j - q0)

Sachant que les signaux modulants s’écrivent :

S1(t) = Mcos(j)

S2(t) = Msin(j)


q0 = 0 : D(t) S1(t)

D(t) = KP0M0[S1(t)cosq0 + S2(t)sinq0]

 
q0 = p/2 : D(t) S2(t)
 
En considérant que S1(t) et S2(t) représentent EI et EQ, on a extrait l’information de chrominance.

Pour une démodulation correcte pendant toute la durée de la ligne, il faut que l'oscillateur présente une stabilité supérieure à 10-7.
 
 

 

4.1.5 Schéma d’un récepteur NTSC

Fig. 4.4 : Récepteur NTSC

La ligne à retard (470 ns) placée sur la luminance sert à compenser les temps de propagation des signaux de chrominance à travers les filtres.

 

4.1.6 Performances

Le principe de modulation choisi est relativement robuste au bruit mais il présente certains défauts :

Cross-Color : la fréquence de la sous porteuse chrominance (3,58 MHz) est relativement basse, ce qui fait qu’une partie du signal de chrominance peut générer des défauts sur l’image.

Dérive de couleur : pour un fonctionnement correct de la démodulation d’amplitude, il faut que l’oscillateur du récepteur soit très bien asservi en phase par rapport à l’émission ; une dérive de phase se traduit par une restitution infidèle des couleurs particulièrement sensible pour le rose (teinte " chair ") ; pour atténuer ce défaut, les récepteurs effectuent une correction automatique sur cette teinte, la couleur " chair " paraît plus fidèle mais d’autres textures dans les mêmes tons peuvent être altérées.

4.2 PAL (Phase Alternate Line)

Format européen, mis en application en 1962, qui s’est fortement inspiré du modèle américain (NTSC) en en prenant les avantages et en essayant d’en gommer les défauts.

Compatible avec le format européen Noir et blanc 50 Hertz (balayage 50 fois par seconde, soit 2 demi-images balayées 25 fois, soit 25 images complètes en 1 seconde).

Définition de l'image : 720 pts x 576 lignes utiles (x 25 par seconde).

 

4.2.1 Base de couleurs

Le système PAL utilise une base de couleurs YUV, détaillée ci-après :

Y = 0,30ER + 0,59EV + 0,11EB

U = 0,493(EB - EY) (~DB)

V = 0,877(ER - EY) (~DR)

Le Blanc de référence est caractérisé par Y = max, U = V = 0.

 

4.2.2 Transport de la couleur

Comme pour le système NTSC, le choix de la modulation s'est porté sur la Modulation d’amplitude double en quadrature de phase à porteuse supprimée.

Afin de réduire les distorsions de couleurs liées à des dérives de phase rencontrées sur le système NTSC (entre émission et réception, on alterne la phase de la sous porteuse chrominance à chaque ligne : On transmet : U ± jV.

Ligne 2kN : on transmet U + jV : S(t) = Ucosw0t +jVcos(w0t + p/2)

Ligne 2kN+1 : on transmet U - jV : S(t) = Ucosw0t + jVcos(w0t - p/2)
 
 

La phase de la salve de référence vaut 180° ± 45° (valeur moyenne de 180°)

 

4.2.3 Choix de la fréquence de la sous porteuse

Le transport de la sous porteuse chrominance doit se faire dans la bande passante de la luminance tout en ne perturbant pas la réception par un récepteur noir et blanc ; les contraintes sont les mêmes que dans le cas du NTSC, avec en plus la prise en compte de l’alternance de phase de V à chaque ligne qui impose un décalage de ¼ de fH.

Le système PAL a adopté :

fTRAME = 50 Hz

fSON = 5,5 MHz (modulation FM)

fH = 15625 ± 0,044 Hz

et

fSC = ()fH + fIMAGE = (284 + ¼)fH + 25 Hz

fSC = 4.433.618,75 Hz ± 5 Hz
 
 

L’analyse spectrale du signal composite ainsi obtenu est donnée par la figure suivante, le choix de fSC permet à ces 2 spectres de ne pas se chevaucher.

Fig. 4.5 : Détail du spectre du signal Vidéo composite PAL

Il faut attendre 8 trames (4images) pour retrouver les mêmes conditions de phase de la sous porteuse chrominance.

 

4.2.4 Démodulation

La séparation Luminance-Chrominance se fait de la même manière que pour le NTSC, par filtrage plus ou moins évolué.

La démodulation du signal de chrominance peut se faire également comme pour le NTSC mais, pour obtenir de meilleures performances, il est préférable d’utiliser une ligne à retard (de durée d’une ligne vidéo (64 µs)) :

Fig. 4.6 : Ligne à retard 64 µs

La réalisation du retard se fait par propagation acoustique d’une onde dans un matériau céramique de forme octogonale ; Pour un fonctionnement correct du décodage, la norme PAL impose une tolérance de 6 ns.

Lors du décodage de la ligne N, on utilise le signal de la ligne précédente (N-1), soit :

Ligne N-1 : on a U + jV

Ligne N+1 : on a U - jV

La somme de ces 2 informations donne : 2U

La différence entre ces 2 informations donne : 2V

L’avantage de cette technique est d’annuler une erreur d’asservissement de phase de l’oscillateur du récepteur (q0 vu pour le NTSC).

L’inconvénient du procédé est que le traitement réel est le suivant :

La somme de ces 2 informations donne : UN-1 + UN

La différence entre ces 2 informations donne : VN-1 + VN

Or, d’une ligne à l’autre, l’information couleur peut avoir de fortes variations (contour horizontal, par exemple), ce qui va se traduire par l’apparition de fausses couleurs.

 

4.2.5 Schéma d’un récepteur PAL

Fig. 4.7 : Récepteur PAL

 

4.2.6 Performances PAL

Comparé au système NTSC, le système PAL permet une restitution de couleurs plus fidèle car il est moins sensible aux écarts de phase.

Parmi les défauts générés, on peut noter :

4.3 SECAM (Séquentiel à mémoire)

Format français, développé concurentiellement au système PAL (1962), basé sur une approche fondamentalement différente.

Il est compatible avec le format européen Noir et blanc 50 Hertz (balayage 50 fois par seconde, soit 2 demi-images balayées 25 fois, soit 25 images complètes en 1 seconde).

Définition de l'image : 720 pts x 576 lignes utiles (x 25 par seconde).

 

4.3.1 Base de couleurs

 

Le système SECAM utilise une base de couleurs Y DR DB, détaillée ci-après :
 
 

Y = 0,30ER + 0,59EV + 0,11EB (bande passante : 6 MHz)

DR = -1,902(ER - EY) (bande passante : 1,2 MHz)

DB = 1,505(EB - EY) (bande passante : 1,2 MHz)

Le Blanc de référence est caractérisé par Y = max, DR = DB = 0.

 

4.3.2 Transport de la couleur

Profitant des développements du PAL, notamment l’utilisation d’une ligne à retard, et de la moindre acuité visuelle en chrominance de l’observateur, le système SECAM adopte la transmission séquentielle de la chroma ; ainsi une ligne transportera le ROUGE et la suivante le BLEU.

Le choix de la modulation s’est porté sur la modulation de fréquence en raison de son meilleur comportement vis à vis du bruit (de luminance, essentiellement).

Chaque composante de couleur possède sa fréquence porteuse :

  pour une ligne " rouge " Chroma(t) =   pour une ligne " bleu " Le choix des porteuses est le suivant :

f0R = 282.fH = 4.406.250 Hz et Df0R = 280 kHz

f0B = 272.fH = 4.250.000 Hz et Df0B = 280 kHz

En fait, les signaux DR et DB ne sont pas centrés sur 0, cela fait que les 2 signaux modulés occupent la même bande de fréquence : 3,9 à 4,8 MHz ; la figure suivante représente, de manière graphique, la loi de modulation.

Fig. 4.8 : Loi de modulation et spectre SECAM

Pour limiter la visibilité des signaux de chrominance par un récepteur N&B, il est pratiqué une inversion de phase sur la porteuse suivant une séquence prédéfinie sur 3 lignes (0 0 p 0 0 p ... ou 0 0 0 p p p ...) ; de même en trame, on inverse la phase à chaque trame (0 p 0 p ...).

Ainsi, on retrouve les mêmes conditions de phase toutes les 4 trames (2 images), comme pour le NTSC.

 

4.3.3 Démodulation SECAM

La démodulation d’amplitude exploite un discriminateur de fréquence, c’est à dire un dispositif dont la tension de sortie est proportionnelle à la fréquence ; cela peut être très simplement réalisé un filre passif à bobine et capacité de type " cloche " ; on exploite alors un flanc de la réponse fréquentielle du filtre (figure suivante).

Fig. 4.9 : Discriminateur de fréquence

Cette solution est économique à utiliser mais elle présente l’inconvénient de ne pas être très linéaire, elle impose un ajustage précis du filtre et le temps de réponse du filtre peut introduire des défauts de décodage.
 
 

 

4.3.3 Schéma d’un récepteur SECAM

Fig. 4.10 : Récepteur SECAM

Pour effectuer la démodulation, le récepteur utilise la voie directe et la voie retardée (d’une ligne) et utilise l’information du portier pour aiguiller, via le permutateur, le rouge et le bleu. Sur les anciens récepteurs, l’identification des lignes (Rouge ou bleu) se faisait au début de chaque trame, une bascule déterminait, en changeant d’état à chaque ligne, ensuite la permutation à effectuer ; les récepteurs plus récents sont capables d’identifier à chaque ligne, durant la salve de chrominance, la couleur de la ligne.

 

4.3.4 Performances SECAM

Le choix de la modulation de fréquence permet d’obtenir une meilleure immunité aux perturbations (bruit ou transition de luminance) mais il présente l’inconvénient de ne pas pouvoir dissocier les spectres de luminance et de chrominance ; cela impose un filtrage plus sévère de la luminance, au détriment de la résolution de l’image.

Le principal défaut du système SECAM vient de la perte de résolution en couleur liée à la transmission séquentielle de la chroma ; la figure suivante présente un contexte d’erreur de décodage.

Fig. 4.11 : Cas d’erreur de décodage de la couleur (SECAM)

Un autre défaut est l’impossibilité de faire du montage entre 2 images SECAM (incrustation, par exemple) sans risquer un décrochage du décodage lié à un saut de phase de la sous porteuse.

Une grande qualité du système SECAM est la qualité de la restitution des teintes, qui est stable, même pour des couleurs fortement saturées.

4.4 MESECAM

Il s’agit d’un format hybride employé essentiellement en Afrique du Nord, il reprend le principe de transmission séquentielle de la chroma utilisé par le SECAM, mais effectue une modulation d’amplitude au lieu d’une modulation de fréquence ; la justification de ce choix de modulation teint à des raisons essentiellement économiques, les magnétoscopes PAL étant nettement moins chers que les SECAM.
 
 

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